Les lumières de la Vie (suite de la Plaine Déchiré) PV Flocon de Neige

Le noir enveloppa les deux loups de son étreinte familière qui pourtant dans certain cas s’est faire ce soulever les poiles de l’échine tellement la peur grandit plus vite une fois la lumière éteinte, comme dans cette situation. Une sensation étrange s’empara de la louve pendant sa chute, comme si une main géante et bien trop puissante l’avait attrapée et l’entraînais vers le fond. L’arrachais à la vie.

Mais le pire pour Nuage Neigeux n’était pas qu’elle allait certainement mourir, non, c’était qu’elle entraînait Hiver avec elle. Pour la louve, la vie l’avait épargnée une fois, maintenant c’était à son tour de partir pour les étoiles. Mais Hiver à encore temps de chose à vivre, à voir et à découvrir ! La vie pouvait bien le laisser vivre, ce n’était pas son heure.

Non ce n’est pas son heure à lui, il vas vivre, il doit vivre.

Le sol se rapprochait trop vite, mais ils ne purent le voir arriver dans ce noir aubaine qui les entourait. Leur chute ne fus pas longue, mais la vitesse acquise était suffisante pour tuer un loup sur de la pierre. Mais ce n’était pas de la pierre qui les attendait. En bas ce trouvait un lac, une source souterraine, qui les laissa entrer en son seins, non sans difficulté, avec une grande vague d’eau déplacée par leur corps filant dans les air.

Le choc fut douloureux, car l’eau liquide quand on la bois, quand on y nage, peut ce transformer en un mur pire que la roche pour l’écho de l’onde de choc qu’il propage par la suite de l’impacte. A une plus grande vitesse l’eau les aurais broyé sous ses mains puissantes, réduisant leur vie à néant dans des douleurs atroce. Heureusement pour eux, il n’avait pas atteint cette vitesse et le choc, bien que terrible ne leurs infligerait au plus que quelque blessures.

L’eau n’est pas pire que la roche que pour cette onde de choc propagée, mais aussi parce qu’avec les remous causés par leur irruption, il y est facile de se noyer. L’eau n’est qu’une vaste étendue de piège, bien plus dangereuse que n’importe quel prédateur ; une fois en son seins vous êtes à sa merci, vous vous pliez à ses volontés. Vous n’avez d’autre chois que de lui obéir.

Flocon de Neige qui à de un peur de l’eau - bien consciente de tout ses pièges - ne sais en plus pas nager ; pourquoi aller se risquer à l’humeur lunatique de l’eau sans de très bonne raison ? Avait avant tout un autre problème à régler. Elle était plongée inconsciente dans une eau glacée donc la température ne parvenait pas jusqu’à son cerveaux endormis. La louve n’était même pas consciente de son état elle aurais même eux des côtes cassées que rien ne lui aurais été retransmit. Son cerveaux sous le choc à décidé de faire grève. Seul le temps pourras le réveillé.

Autour de Flocon tout était noir, un noir d’ancre impossible à percer pourtant une faible lumière parviens jusqu’au yeux de la jeune louve qui se trouvait entre la vie et la mort, laissant le destin choisir ce qu’il adviendra d’elle. Cette lumière ocre pris bientôt une forme floue, une grande forme allongée. Le cœur de Nuage Neigeux ne fit qu’un bon dans sa poitrine, même comme ça elle savait qui c’était. Quand la forme floue se précisa elle confirma la certitude de la petite louve que Flocon était redevenue.

Devant ses yeux fermés dans l’eau glacée qui continuait de l’emmener où bon lui semblait, sa maman venait d’apparaître. Cette apparition ne surpris pas Flocon, pourtant elle était morte il y a si longtemps… Mais pour la louve blanche, en parfait contraste avec sa maman, c’était comme si elle ne s’était quitter qu’hier. Dans son esprit Nuage Neigeux s’avança vers sa maman qui lui murmurait une phrase que la louve ne comprenait pas. Elle y apporta son attention jusqu’à comprendre les mots sage de sa mère bien aimée.

Réveille toi Petite Flocon, réveille toi, tu n’a pas finir d’accomplir ce que tu devait accomplir… Je suis si fier de toi.

Les mots de la louve rousse résonnait dans la tête de la jeune apprentie, il raisonnait si fort qu’une douleur s’empara d’elle. Ce n’était pas les mots qui lui faisait mal, mais bien son corps meurtri par la force de l’eau. De l’eau…

Brusquement le corps de Flocon de Neige repris vie, ses yeux s’ouvrirent et la lumière bleutée par de petit cristaux bleu au plafond de la grotte jaillis dans sa rétine. Elle était affolée. Elle ne sais pas nager. Elle n’a jamais sus, elle ne saura jamais. La louve se débattait pour sortir de cette eau maléfique et priait pour que son bien aimé s’en sorte mieux qu’elle.

Je suis si fier de toi.

Les derniers mots de sa maman résonnaient encore à ses oreilles, ce qui donnait la force à la louve de se débattre encore. Je suis si fier de toi. Et encore. Les minutes passaient lentement, et son corps engourdit avait du mal à se débattre. Je suis si fier de toi. Ces mots déferlait en elle comme une source d’énergie. Ils lui donnèrent la force de lutter encore un peu.

Mais ce qui lui donnait le plus de force était de retrouver Hiver, de s’assurer qu’il allait bien. Flocon de Neige ne voulait pas croire qu’il pourrait être mort. Elle ne voulait. Et cette force qu’elle dégageait pour le sauver, non sens épuiser ses faibles forces, lui sauvas la vie.

Le loup gris qu’elle connaissait par cœur fit irruption à l’horizon, avent que les forces de l’apprentie ne la quitte. Soulage de le voir encore vivant, elle ne peu empêcher son corps de reprendre ses droits.

Je suis si fier de toi.

Ses yeux lourds se refermèrent, ses forces l’avaient quitter. Elle n’était plus que vide, un vide pourtant serin et soulagé. Presque heureux. Hiver était en vie et elle pourrait rejoindre les étoiles en paix, rejoindre sa maman.

Mais la vie en avait décider autrement. Elle ne mourait pas et Hiver non plus. Dans un élan courageux, le mentor alla sauver la louve blanche. Il sorti avec difficulté le corps de Flocon et le sien de l’eau. La louve blanche avait retrouver cette univers sombre qui la coupait de tout, mais cette fois elle n’était pas vraiment inconsciente car arrivée l’air libre elle se mit à respirer. Elle attendait que des forces lui revienne. Et le plus sera le mieux, Hiver devait être aussi affaiblit qu’elle. Elle devait l’aider… Ou ne pas lui ajouter plus de travaille.

Nuage Neigeux resta un long moment sur le sol froid de la caverne, trempée, à moitié inconsciente. Mais elle n’était pas seul. Hiver c’était allongé près d’elle et, ainsi, leur corps mouillé et froid se réchauffaient.
Au bout d’un moment le loup gris se releva, mais Flocon était trop fatiguée pour le suivre et puis ce geste montrait qu’il était en vie et la rassura. Elle n’avait donc aucune raison de se relever, d’essayer de vivre pour essayer de sauver cette personne qu’elle aime plus que tout.

Son heure était peut-être venue.

Mais au fond la louve ne voulais pas laisser Hiver seul ; elle voulais être à ses coter pendant encore longtemps. Mais la souffrance était tels qu’elle ne trouva pas la force de se lever. Elle était cassée intérieurement et mal en point extérieurement.

- Flocon de Neige ? Arrives-tu à te lever ? Nous allons mourir de froid si nous restons là. Je suis tellement désolé...

Ces mots sortit de la bouche de la personne qui compte le plus pour la louve blanche eurent l’effet d’un électrochoc pour Flocon. Elle ne pouvait pas le laisser, et surtout ce n’était en rien sa faute à lui.

Nuage Neigeux ce releva péniblement tout en regardant le loup gris le plus beau de ces terres. Pour lui elle s’efforça d’être positive, de faire comme si tout allais bien alors que quelque temps avant elle aurais préféré rester au près de sa maman.

Flocon essaya donc de le rassurer d’une voie douce.

_Ce n’est pas ta faute. Et nous trouverons une sortie j’en suis sûr !

Elle scruta les horizons à la recherche d’une issue. Il y avait plusieurs chemin possible, mais pour certain il fallait être sur l’autre rive. Elle les oublia donc et se concentra sur les 3 que lui proposait sa rive. Il y en avait un qui n’inspirait pas fort à la sécurité ; qui leur disait qu’ils ne pouvaient pas tomber plus bas ? Les deux autres avaient l’air plus sur.

Il faudrait ce référé au hasard.

A la chance.

_Et si on essayait celui là ?

Flocon montrait le chemin du milieux. Il avait l’air de monter un peu ce qui pourrais au moins les rapprocher de la surface du sol.

Hiver proposa à Flocon de passer devant et face à son regard plein de tendresse elle le fit sans poser de question. Mais elle n’était pas très à l’aise à l’idée d’avoir Hiver derrière elle et non pas devant, comme ça elle ne pouvait pas le voir. Elle était inquiète pour lui, mais fit de son mieux pour se montrer forte à présent.

Ils marchèrent un long moment sur le sentier, tentant de tomber à plusieurs reprise. Les forces, déjà pas nombreuses, menaçaient de partir et de laisser la louve blanche sans force. Mais une brise légère venait glisser sur leur pelage, indiquant que la sortie n’était pas loin.

Après un moment interminable les deux loups tombèrent non pas sur la sortie mais sur une descende qui faillis les décourager totalement.

Ce n’est que bien plus loin que la sortie s’ouvrit à eu. Soulager, elle respirait à grand poumon l’air frais qui les accueillaient  sur terre. Heureuse, Flocon fit une petite léchouille sur le front d’Hiver et ils partirent en direction du camps après une journée d’entraînement dur en émotion et physiquement.

C’est exténuer qu’ils arrivèrent au camps… et plutôt mal en point.

Mais en vie.

C’est tout ce qui comptait.