Caractère
Douce sage et bien vaillante, Plume d'Épervier ne se laisse pas pour autant marché sur la queue. La guérisseuse sais se défendre malgré ses airs doux et chaleureux il vaut mieux évité de lui soufflé dans la truffe car vous risqueriez de vous prendre un de ses vif coup de crocs dans l'oreille. Cette jeune canidé déteste plus que tout l'injustice, capable de tout pour rapporter la vérité aux yeux de tous elle est téméraire et fera tout son possible pour protéger et guérir sa meute au péril de sa vie.
Physique
Plume d'Épervier est une jeune louve au pelage épais dans les teint crème mais qui, sur le dos porte des taches comme deux ailes d'épervier c'est d'ailleurs d'elles qu'elle tient son nom. Quant à ses yeux d'un gris perlé qui reflète le clair de lune chaque nuit, ils sont entouré chaque aube d'un voile blanchâtre de tristesse quelle tente de masquer de sa patte avant gauche striée d'une ancienne blessure qui ne guérira jamais totalement.
Histoire
Qui torquet caelium ~ Qui se tord en l'air.
Un pleurnichement fit remuer mes oreilles, encore jeune louvette je chercha ma mère du bout de la truffe. Sa place était chaude mais une odeur nauséabonde régnait. Que ce passait-il ? Rampant dans l'obscurité de mes paupières je me hissa aussi loin que j'eu pu avant d'heurter quelque chose de dure et froid. L'odeur étrange en émanait pour autant quelque chose me semblait familier dans cette odeur. Je me lova contre l'étrange boule lorsque les sanglots s'intensifièrent. Soudain un violent coup de patte me projeta contre le sol. Un hurlement se fit entendre, cette voix... Je connais cette voix.
C'étais celle de ma mère elle hurlait en me piétinant lorsque j'ouvris les yeux l'aube entourait de noirceur la masse froide. Même si a ce moment précis je ne savais rien du monde je devina se qui se tenait face à moi. Mon unique sœur était morte ainsi. Roulé en boule. Ma mère était folle de rage. Elle hurlait. Qu'hurlait-elle ? Je ne me souviens pas. On m'a dit qu'elle avait perdu l'esprit. Tout ce dont je me souviens c'est de don corps ramené une semaine plus tard, raide, sans vie, amaigri. Elle était partie sans n'avoir ni bu ni mangé. À partir de ce moment là, une louve au pelage brun pris la relève, elle avait perdu l'un de ses louveteaux et m'avait donc recueilli seulement je ne me senti jamais à ma place près d'elle et ne quitta plus mon père. Il voulait que je devienne la plus grande guerrière de la forêt seulement, chaque fois que je m'entraînais avec lui, que je faisais semblant de le mordre alors que je n'étais qu'un louveteau, le souvenir de cette nuit où j'ai ouvert les yeux me revenais et la terreur m'emportais. Je n'eu le choix.
La voie des guérisseur dont la douce odeur des plantes me faisais tant sourire s'offrit à moi et je commença a sauver des vies en pensant que si quelqu'un aurait pu faire cela pour ma sœur je lui aurait été mille fois reconnaissante. Chaque aube je revois la scène. A chaque fois mes yeux se portent sur la cicatrice qui zigzag de mon épaule à ma patte seule souvenir matériel de ma mère. Au long des années j'ai appris à guérir les autres avec mon mentor, Tempête Lunaire. Elle m'aida à dominer mes souvenirs et m'expliqua la folie de ma mère lors de cette nuit de terreur.
Je reçu mon rang de guérisseuse lorsqu'elle parti pour la tanière des anciens. Peu de temps après, lors d'une chasse, mon père se blessa violemment une profonde entaille sur le flan gauche. Je resta figé un instant avant de saisir quelques plantes pour tenté de le sauver seulement, il s'éteins devant mes yeux. En un dernier soupir il arracha la longue liane qui serpentait depuis des saisons le long de sa patte avant droite pour me la tendre. J'eu l'impression de voir son âme flotter vers moi et me sourire avant de s'envolé rejoindre la meute des étoiles. Je conserva la liane sur ma cicatrice. Depuis, lorsque je vais chercher des plantes pour ses remèdes on peut m'apercevoir par fois airé près du chemin d'amazonite, lieu où avait été trouvé le corps de ma mère.