Etant apprentie depuis peu, je décide d'aller explorer les Terres Libres. J'ai déjà visité les terres de ma meute à mon baptême, j'aimerais voir à quoi ressemble celles n'appartenant à personne. Qui sait, peut-être que je trouverai des endroits où l'on peut obtenir des plantes que l'on ne trouve nulle part sur les terres de la Meute du Temps ?
L'aube commence à peine à poindre que je m'éclipse du camp. Je salue le guerrier à l'entrée, qui, fatigué d'avoir veillé toute la nuit, ne devrait pas tarder à partir pour se reposer. Je décide de courir un peu pour me réveiller et atteindre plus vite les terres libres. Une fois arrivée au bord de la frontière, je m'arrête, une patte en l'air. Mon idée d'exploration peut être bonne, mais pas où commencer ?
Je décide de prendre la direction du Rocher aux Loups. C'est là où se trouve un rocher pour chaque meute, et même si on m'a décrit l'endroit, j'aimerais bien voir ça de mes propres yeux. Et puis, peut-être qu'en bas des rochers correspondant à la Meute de l'Eau et à la Meute de la Terre, je pourrai trouver des plantes utiles ? Ce sont les rochers les plus verts, de ce qu'on m'a dit. Enfin, à cette saison, ce n'est pas trop le cas, mais sait-on jamais.
Alors que j'arrive dans la clairière, je m'arrête, et lève la tête vers les têtes de loup. Impressionnée, je commence à les détailler en tournant sur moi-même. Je me perds tellement dans ma contemplation que j'en oublie de surveiller mes arrières. Lorsqu'un bruit me rappelle à la réalité, je sursaute, et tourné la tête en tous sens, aux aguets.
- On est sur des Terres Neutres, inutile de se cacher. Je ne vais pas attaquer, c'est complètement stupide.
Surtout quand on est apprentie guérisseuse. Mais ça, je le garde pour moi. Mieux vaut savoir à qui j'ai affaire avant. Peut-être que j'ai près de moi une présence inamicale après tout.
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Mar 20 Fév - 9:39
Un léger courant d’air fraie entre dans ma tanière et viens caresser le bout de ma truffe. Je pousse un léger grognement de mécontentement, avant d’ouvrir mes yeux ambrés et de pousser un bâillement assez sonore. Je me lève, alors, avant de m’étirer pour désengourdir mes pattes et tout le reste de mon corps. Je sors, ensuite, de ma tanière tout en prenant garde aux odeurs qui entourent ma tanière. Un renard semble être passé dans la nuit, mais il a dut sentir mes marquage et à l’heure qu’il est, il doit être loin. Quoi d’autre comme odeur… Je pose mon museau à terre et prend une profonde inspiration. Les quelques odeurs qui me viennent sont celles de prédateur qui comme moi doivent passer leur journée à chercher des proies qui se cachent ou qui ont quitté le territoire à cause du froid.
Je pousse un profond soupir tout en regardant mes côtes qui apparaissent sous ma fourrure, mon dernier repas doit dater de deux ou trois jours et il n’était composé que d’un pauvre lapin aussi maigre que moi. Si seulement ma mère était encore là… Pour chasser les sombres pensées qui commençaient à hanter mon esprit dès le matin, je décidais de me faire une rapide toilette avant d’aller chasser. Une fois ma fourrure blonde nettoyée, je me mets en marche vers le Lac de la Trêve, comme l’appelait ma mère, tout en cherchant une possible piste appartenant à mon futur repas. Arrivée au lac, je pose ma truffe à terre et j’entrouvre légèrement ma mâchoire pour pouvoir capter le plus d’odeur possible. Plusieurs odeurs me viennent, alors, dont les odeurs des meutes qui entourent mon terrain de chasse. Une faible odeur de lapin vient me chatouiller les narines et je me mets en chasse tout en restant sur mes gardes.
L’odeur me mène à l’un des ruisseaux qui alimentent le lac, je me stoppe et dresse les oreilles tout en prenant de profondes inspirations. De l’autre côté de ce ruisseau se trouvent les Rochers aux Loups, c’est cinq immenses rochers aux allures de tête de loups bordent, également, le territoire de deux meutes. J’hésitais… D’un côté ma faim me disait de suivre l’odeur du lapin, mais de l’autre mon instinct me disait de repartir, car je risquais de croiser des loups qui ne me voudraient pas du bien, comme me l’avait dit ma mère.
Ma curiosité et ma faim eurent raison de moi et je franchie le ruisseau tout en restant sur mes gardes. Je poursuivis mon chemin tout en continuant de suivre la piste du lapin quand tout à coup une autre odeur, plus forte, attira mon attention. Je me tapis dans l’herbe tout en continuant de renifler l’odeur qui venait à moi, je me mis à la pister et j’arrivais aux Rochers aux Loups. Je me réfugiais près d’un buisson qui avait poussé contre l’un des rochers et je regardais l’individu qui venait de pénétrer dans la clairière. Un louveteau ? Que faisait-il ici ? Il semblait être plus jeune que moi de quelques lunes, alors que je me blottis un peu plus dans mon buisson, je fis craquer une brindille ce qui sembla attirer l’attention du jeune loup.
- On est sur des Terres Neutres, inutile de se cacher. Je ne vais pas attaquer, c'est complètement stupide.
Je ne fis aucun mouvement tout en écoutant le louveteau qui ne s’avérait pas être un, mais une. Pourquoi cette petite louve me parlait de Terre Neutre… Il est vrai que je n’avais jamais vu de loup appartenant à une meute sur mes terrains de chasse. J’avais déjà sentis l’odeur d’autre solitaire, mais jamais celle d’une meute. N’écoutant que mon courage et ayant pour seule envie de faire partir ce jeune louveteau de mes terrains de chasse, je sortis de mon buisson tout en grognant et en ébouriffant ma fourrure.
Je ne comptais pas parler juste essayer de me montrer menaçante pour qu’elle parte. Vu mon état, je ne devais pas sembler trop menaçante, mais je devais quand même essayer dans le pire des cas, je prendrais la fuite.
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Lumière Nocturne
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Apprenti • Meute du Temps
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Sam 17 Mar - 17:50
Une jeune louve sort alors des fourrés en grognant. Sa fourrure est ébouriffée mais ne permet malgré tout pas de masquer sa maigreur. En cette saison, cela doit être dur pour tout le monde. Vu son odeur et son comportement, j'en déduis que c'est une solitaire. L'avantage de la meute c'est qu'on unit nos forces pour s'entraider face au froid. Seul, c'est plus compliqué. Même si je ne suis pas épaisse, je dégage un peu plus d'énergie et de forme qu'elle. En même temps, étant apprentie guérisseuse, j'ai quelques avantages non négligeables.
Je remue les oreilles, ne m'étant pas attendue à une telle réaction de sa part. Elle ne sait pas que ce lieu est reconnu comme un lieu de trêve, n'appartenant à personne ? Visiblement non. Autant lui expliquer, peut-être que ça la calmera. Sinon, il faudra que je trouve une astuce pour l'aider à calmer sa faim. On a tendance à être irrationnel quand on ne pense qu'à dévorer une proie. En tout cas, si elle m'attaque, je ne suis pas en galère, moi. Je ne suis pas apprentie guerrière, je ne sais pas me battre. Il faudra que j'apprenne quelques rudiments pour faire face à des solitaires violents, mais je n'en suis pas encore là dans mon apprentissage. Je commence à peine.
- On se calme, je ne suis pas ici pour me battre. De plus, cet endroit n'appartient à personne. C'est censé être le seul lieu où chacun peut venir sans soucis, car c'est un lieu de paix. De plus, j'ai tout un territoire avec ma meute, inutile que je chasse ici. Je suppose que tu es là pour ça, non ?
J'ajoute un regard significatif vers les flancs de la jeune louve. Je ne la connais pas. Je sais que je suis limite. Quand on est face à un loup affamé, qu'on ne connaît pas, il ne faut pas pousser trop loin. Ma franchise me perdra un jour. J'espère juste qu'elle ne va pas se vexer. Je serai dans de beaux draps sinon. Bon, après, je suis franche, mais pas débile, non plus. Je ne vais pas en plus ajouter que je ne sais ni chasser ni me battre. Manquerait plus que je tombe sur quelqu'un qui aime intimider ou attaquer les autres. En attendant, il faut bien que je trouve un moyen de l'aider. Juste au cas où elle se montre agressive. Comme ça, je finis avec une alliée. C'est mieux qu'être avec des ennemis. Même si on comprend mieux les adversaires. Avec eux, on sait toujours à quoi s'attendre. Enfin, là, j'aimerais bien que ça n'arrive pas.
Alors, je ne sais pas chasser, mais j'ai un bon flair. Je peux l'aider à pister une proie ? Elle va croire que je veux lui voler son gibier, mauvaise idée. Bon, cherchons dans mes maigres connaissances des plantes. Pourquoi j'ai décidé d'explorer avant d'avoir mes premiers entraînements, moi ? En plus, trouver quelque chose par ce froid et ce temps, ça va être facile, tiens. Bon, je lui ai demandé une fois quelles plantes ils pouvaient bien utiliser pour voyager jusqu'à l'Arbre Ancestral. Peut-être que ça pourrait être utile. Il y avait quoi... Je lève la tête pour voir si un arbre qui m'entoure pourrait m'aider. Je vois un chêne. Des pousses de chêne ! Ah ouais, mais il n'y en a pas à cette saison... Bon sang, comment je vais faire pour désamorcer la situation, moi...
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Plume d'Épervier
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Guerisseur • Meute du Vent
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Ven 20 Avr - 19:38
L I B R E
"Vivre ce n'est pas sérieux, ce n'est pas grave. C'est une aventure, c'est presque un jeu. Il faut fuir la gravité des imbéciles."
[small]-Jaques Brel.[/small]
Rencontre imprévue
Plume d'Épervier courrait dans le territoire de la meute du vent. Ses prunelles grises étudiaient chaque recoins, chaque plantes. Elle ne souhaitait pas en loupée ne serait ce qu'une seule. Elle retenait chaque coins où se cachaient chaque plantes pour être la plus rapide possible quand ses réserves commencerons à désemplir. Elle avait déjà fait une récolte la veille mais n'avait pas encore été jusqu'à la frontière pour savoir où poussait les plantes. Le territoire de sa meute était spécial. Connu pour sa fertilité, la pousse des plantes change chaque année se qui complique la tâche de guérisseur. Arrivant à la frontière, la louve beige décida de faire un tour hors des terres. De son pas souple et léger elle choisit de se rendre aux rochers aux loups, ces blocs de pierres taillés par le vent pour formé des têtes de loups. Avançant rapidement elle arriva vite à sa destination. Pénétrant dans la clairière elle se retrouva face à deux louves, très jeunes, juste assez pour être apprenties. Elle les reconnu assez vite : l'une d'elle était une solitaire qu'elle avait croisé lors de ses nombreux trajets pour se rendre à la grotte au murmure ainsi que l'apprentie guérisseuse de la meute du temps, elle ne l'avait pas revu depuis la chasse aux étoiles où elle avait toute deux récolté une étoile de taille moyenne. L'inconnu grognait mais l'apprentie se tenait droite et calme essayant de dialogué. - Que se passe-t-il ici ? Lança Plume d'Épervier de sa voix douce tout se montrant ferme. Assise bien droite, elle fixait les deux autres canidés.
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Lumière Nocturne
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Mer 9 Mai - 11:18
Alors que je tentais de trouver un terrain d'entente, j'entends un nouveau loup arriver. Mes oreillers remuent au bruit des feuilles sur son passage. Mon regard se dirige rapidement vers l'origine du son avant de retourner sur la jeune louve qui me fait face. Je crois avoir reconnu Plume d'Epervier. On avait chassé les étoiles ensemble. Elle est guérisseuse de la meute du vent, si ma mémoire est bonne. Tiens, elle pourra sûrement m'aider à désamorcer la situation.
- Que se passe-t-il ici ?
Je m'assois tranquillement, sachant que je suis plus en sécurité avec la louve à côté. Sans lâcher du regard la jeune louve, j'entreprends d'expliquer ce qu'elle a loupé.
- Je me baladais aux rochers aux loups pour explorer un peu le territoire, et voir si je ne trouvais pas des plantes que je ne vois pas souvent sur mes terres. La jeune solitaire en face de moi est alors sortie de sa cachette en me menaçant. J'essaye de lui expliquer que je ne suis pas là pour attaquer qui que ce soit. Voilà où nous en sommes.
Je pense avoir résumé rapidement la situation. Je ne sais pas pourquoi, mais au regard de la louve de la meute du vent, j'ai l'impression qu'elle a déjà croisé la solitaire. Peut-être que si elle la connaît, elle pourra la rassurer, et lui montrer que je ne veux pas lui faire de mal. Je suis là pour de l'herbe, à ses yeux, moi, pas pour des proies ou pour envahir une tanière.
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Plume d'Épervier
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Guerisseur • Meute du Vent
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Lun 23 Juil - 22:02
L I B R E
"Vivre ce n'est pas sérieux, ce n'est pas grave. C'est une aventure, c'est presque un jeu. Il faut fuir la gravité des imbéciles."
[small]-Jaques Brel.[/small]
Rencontre imprévue
- Je me baladais aux rochers aux loups pour explorer un peu le territoire, et voir si je ne trouvais pas des plantes que je ne vois pas souvent sur mes terres. La jeune solitaire en face de moi est alors sortie de sa cachette en me menaçant. J'essaye de lui expliquer que je ne suis pas là pour attaquer qui que ce soit. Voilà où nous en sommes.
Plume d'Épervier restait calme comme d'habitude. Peu de loup l'avait déjà vu s'énervé, elle glissa ses prunelles grise sur la louve inconnu, cette dernière gardait une posture dominante ce pendant, le faible tremblement de ses pattes trahissait sa crainte. La guérisseuse l'avait bien remarqué, elle se doutait bien que la louvette qui se trouvait devant elle ne leur ferait aucun mal. - Écoute donc les paroles de tes congénères, nous n'avons peut-être pas la même culture, mais nous vivons de la même façon : la chasse, l'eau et la santé nous sont primordiale. Nous même, dit-elle en désignant l'apprentie (Hors rp j'reste sur quand tu était apprentie car à l'époque tu l'étais encore), nous ne somme pas de la même meute, pour autant nous nous entraidons. Nous ne sommes pas là pour te voler tes proies, uniquement pour observer les quelques plantes qui pourraient aidé nos meutes. La jeune louve beige marqua une pose, les tremblements de la solitaire s'accentuaient, néanmoins la guérisseuse ne bougea point. La frêle petite guerrière qui se tenait face aux deux louve robuste semblait indécise. Allait-elle continuer de protégé son "territoire" ou filé la queue entre les pattes ?
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Apprenti • Meute du Temps
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Mar 14 Aoû - 19:03
J'observe Plume d'Epervier calmer le jeu, en expliquant notre façon de faire. La jeune solitaire se calme un peu et se fait moins menaçante, mais reste tout de même tendue et sur le qui-vive. Je la vois trembler plus qu'avant. Autant de loups face à elle, cela doit faire beaucoup. Je remue les oreilles. Comme je ne suis pas seule, je peux en profiter pour expliquer ce que nous faisons. Après tout, en tant que guérisseuses, nous n'allons pas lui faire grand-chose.
- Pour ma part, je ne sais même pas chasser, alors je vais difficilement te voler quoique ce soit.
D'un signe de la tête, je montre Plume d'Epervier.
- Nous sommes guérisseuses. Enfin, moi je suis encore apprentie dans le domaine. Tout ce que nous faisons, c'est récolter des plantes pour soigner nos camarades de meute. Je pense pas que cela mette tes proies en danger.
Je tente désespérément d'adopter un ton léger pour la détendre. Dire des conneries, c'est pas mon truc, mais quand la situation l'exige, il faut bien se forcer. La jeune louve en face a l'air épuisée. Lentement, elle recule d'un pas. Deux contre un, cela doit être trop pour elle. Puis, elle fait demi-tour et prend la fuite.
Soulagée que tout ce soit bien terminé, je pousse un long soupir. Puis, je me relève pour aller saluer Plume d'Epervier.
- Merci. Je ne sais pas si j'aurais réussi à désamorcer la situation sans toi.
Je hoche la tête. Je pense que j'ai eu ma dose d'émotions fortes pour aujourd'hui.
- Je vais rentrer chez moi. A une prochaine !
Puis, je fais demi-tour, et repars d'où je viens, sur mes terres. Là, au moins, aucun solitaire ne pourra m'attaquer, et je suis sûre d'être en sécurité.
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Plume d'Épervier
Plume d'Épervier
Guerisseur • Meute du Vent
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Ven 17 Aoû - 14:32
L I B R E
"Vivre ce n'est pas sérieux, ce n'est pas grave. C'est une aventure, c'est presque un jeu. Il faut fuir la gravité des imbéciles."
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Rencontre imprévue
Plume d'Épervier ne fut pas surprise que la jeune solitaire est fuit, il est sûr que lorsque l'on se retrouve face à deux loups plus âgée même pacifique la peur nous tenaille l'estomac. Sa fuite était tout de même étonnante, la guérisseuse avait déjà croisé plusieurs solitaire mais jamais l'un d'eux ne s'était comporté de la sorte : généralement il observait en silence les membres des meutes ou alors il dialoguait jusqu'à ce qu'accord soit passé. Il était rare qu'il attaque, mais il restait tout de même quelque imprudent comme cette louve tout droit sortie de la pouponnière. L'apprentie de la meute du temps la remercie puis s'en alla, Plume d'Épervier fut d'autant plus surprise, la jeunette venait d'oublier ses herbes fraichement cueilli. Il se faisait déjà tard et mieux valait de ne pas retarder la future guérisseuse dans ses tâches. Alors Plume d'Épervier posa emporta les herbes et les posa à la frontière qui s'éparait les Loups du Temps des Terre Neutre et s'en alla vers les collines hurlantes, retrouver sa tanière au sein de sa meute. Quelques temps plus tard, elle apprit que Nuage de Lumière était devenu Lumière Nocturne à son plus grand bonheur.
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